N-Y, Juin - Août 2019 MÉTÉO : L'été est là, la chaleur s'installe et le soleil réchauffe les cœurs ! Vous pouvez sortir les shorts et la crème solaire direction Long Island Beach.
Avis aux amateurs de Sang ! Le carnage va commencer...
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Sam 6 Sep - 13:32
Invité
Cletus KASADY CARNAGE
Nom ▬ KASADY Prénom(s) ▬ Cletus Sexe ▬ Masculin. Âge ▬ 20 ans Nationalité ▬ New-yorkais, natif de Brooklyn. Métier / études ▬ Moisit en prison. Classe ▬ Vilain. Statut civil ▬ Célibataire. Orientation sexuelle ▬ Hétérosexuel.
Inventé Prédéfini Scénario feat. Zack WARD
☇ Depuis combien de temps habitez-vous à New York ? Trouvez-vous la ville plutôt accueillante ou désagréable et pourquoi ? Ah ! New-York, son air pestilentiel, ses habitants toujours de bonne humeur et scandant des "Regardez ! C'est Spider-Man ! La claaasse !" ou dans d'autres quartiers des propos plus proches du rédacteur du Daily Buggle.
Brooklyn est le quartier dans lequel j'ai vu le jour et où je me suis fait une réputation à ma hauteur. Enfin, les gens n'aiment pas trop parler de mes exploits mais j'ai un bon palmarès de meurtres et j'en suis plutôt fier. Ah Brooklyn ! Les pickpockets, les gens effrayés, les vieilles dames qui emmerdent les automobilistes en traversant avec leur déambulateur alors que le feu vient de passer au vert. Qui n'a jamais eu envie de les renverser et de leur apprendre à traverser plus vite ? Avouez-le même vous vous en avez déjà crevé d'envie. Vous le rêviez ? Je l'ai fait ! Et j'avoue que c'était plutôt amusant ! Ah ah !
☇ que pensez-vous des Avengers ? Étiez-vous là le jour de l’attaque de New-York par les chitauris ? Bien sûr que j'étais là ! Voyons ! Je n'ai pas quitté New-York depuis que je suis né ! D'ailleurs, pourquoi quitter un endroit où j'ai autant d'admirateurs et d'admiratrices ! Oui, les serial killers ça plaît aux femmes ! Faudra vous-y faire les super zéros.
☇ Comment décrieriez vous votre réputation dans la grosse pomme ? Allons ! Vous plaisantez là ! Vous n'avez jamais entendu parler de moi ? Vous auriez dû vous attardez un peu plus sur les gros titres des revues de presse.
En voici quelques-uns qui retrace un peu ma vie : "Une vieille femme périt d'une mauvaise chute dans les escaliers, son petit-fils se retrouve orphelin.", "Un orphelinat est la victime d'un incendie, il n'y a qu'un seul rescapé parmi les enfants.", "Une adolescente poussée sous un bus finit en première page !", "Le tueur en série à encore frappé ! Une vieille femme renversée sur un passage clouté par une voiture rutilante !", "Mais qui est ce Carnage Killer !", "Le tueur en série enfin arrêté et emprisonné à Ryker's Island !".
Bon ! En dehors des journaux, il m'arrivait aussi de laisser une petite signature sur le lieu de mes crimes avec le sang de mes victimes. Un joli CK qui m'a valu le surnom de Carnage Killer que j'apprécie beaucoup.
☇ L'état parle de personnes possédant des capacités exceptionnelles : des pouvoirs. Quelle est votre opinion concernant les mutants ? En êtes-vous un vous-même ? Décrivez vos capacités ici. Les mutants ? J'en sais rien, pour moi un tas de chair et d'os reste un tas de chair et d'os. Vous savez qu'il lance des lasers ou qu'il ait la possibilité de changer d'apparence, il n'empêche qu'une fois les tripes à l'air, ils ont tous la même réaction. Ils ont le regard qui brille un court instant avant de s'éteindre. Par contre, évitez de me comparer à ces "Homo-superior" prétentieux ou "mutos". Je suis juste un serial killer lié à une entité symbiotique qui partage mon goût pour le meurtre, les carnages et les bains de sang !
Ah vous vous intéressez à mes capacités ? Aurais-je de nouveaux fans ? Enfin comme vous vous en doutez, en tant que "simple" humain, je possède la force d'un homme de mon âge pratiquant une activité physique régulière et légèrement boosté lors de mes phases de "psychose". Enfin, c'est ce que disait ma psy avant que je la découpe en petits morceaux. Mais ce n'est pas la question.
Alors... Quand nous sommes Carnage, c'est une autre histoire. Nous pouvons soulever jusqu'à cinquante tonnes et les balancer sur le premier à nous poser des questions ennuyantes. Ce que nous aurions fait si votre question n'était pas intéressante par exemple. Mais je m'égare...
Nous sommes aussi plus étroitement lié que notre idiot de père avec Brock, ce Venom... Notre fusion est cellulaire contrairement à celle d'autres symbiotes. Au niveau de nos similitudes, tout ce que Venom fait, nous savons le faire en mieux car nous sommes meilleurs dans les bains de sang.
Nous pouvons donc adhérer aux murs et plafonds, produire des "fils" pour nous balancer d'immeubles en immeubles, transformer nos doigts en griffes acérées, former diverses armes à partir de notre corps, les projeter si besoin, absorber les balles des armes conventionnelles, changer notre tenue en n'importe quel genre de vêtements et voir par le symbiote et surtout nous régénérer.
Ah oui, nous possédons aussi certaines facultés intéressantes. Contrairement à Venom qui a une masse organique limitée, nous produisons continuellement de nouvelles molécules en disposant des réserves inépuisables de nos victimes. Nous sommes aussi capables de neutraliser à un certain niveau le sens d'araignée de Spider-Man et celle de nos semblables consistant à pouvoir nous traquer où que nous soyons. Nous t'entendons rager jusqu'ici père !
(Nous sommes increvables et invulnérables sauf peut être aux ondes soniques mais moins que le paternel et au feu, là j'envie notre idiot de père...)
☇ Un génie apparaît devant vous et vous propose d'exaucer un vœu, quel est-il ? Mon vœu serait que le monde soit plongé dans le chaos et que tous se battent ! Quel joyeux foutoir ce serait ! Là je pourrais m'amuser !
☇ Il parait que chaque personne sur cette Terre a un modèle, un mentor. Quel est le votre ? Un modèle ? Hum... J'hésite entre Jack l'éventreur, Jason et Freddy Krueger. Enfin, vous l'aurez compris, j'aime bien les massacres bien gores.
☇ Vous arrivez chez vous et vous découvrez une mare de sang sur le sol. Quelle est votre réaction ? Non-loin de là, un cadavre est étalé sur celui-ci. Que faites-vous ? Mais merde ! Qui m'a volé mes proies ? Bon ! Tant pis, ça me fera un petit casse croûte pour mon symbiote et pour le sang, un petit coup de serpillière et c'est bon. Quoique... Si j'en mets un peu sur les murs en faisant de grands jets ça pourrait embellir la déco'.
HISTOIRE
CHAPITRE I : LE SALE GOSSE !
Je sais ce que vous allez sûrement penser, je vais vous raconter que mes parents me battaient ou qu'ils m'ont lâché bébé et que je suis tombé sur la tête. J'ai eu une enfance désastreuse bouhou ! Bien sûr qu'il y a eu des moments pénibles, mon père me battait jusqu'à ce que je perde conscience et ma mère buvait mais beaucoup de gens sont passés par là et n'ont pas fini comme moi. Voici ce qu'il s'est réellement passé... Quand je n'étais encore qu'un gamin, j'ai découvert la vérité : la vie n'a aucun sens et la mort est la seule chose qui compte. Voici mon histoire...
Je suis né au Brooklyn General Hospital comme la plupart des gentils petits bambins de ce quartier surpeuplé de New-York. Je dois mon adorable prénom à ma mère qui à mon avis, avait trop regardé le professeur Foldingue à l'époque et devait aimer davantage le paternel du film que mon géniteur ou était complètement bourrée quand il a fallu me nommer... Quand à mon nom je le devais à mon connard de père.
Mes parents étaient des gens plutôt simples, ils s'engueulaient souvent et il était rare que les assiettes ne volent pas pendant les repas... Il m'arrivait assez souvent de ramener des mauvaises notes ce qui me valait des corrections mémorables. C'était le cadre dans lequel j'évoluais.
Pas vraiment le cadre idéal selon ma psy mais au moins, chez les Kasady, on ne s'ennuyait jamais. Un jour où la dispute était plus violente que d'habitude, j'avais répondu à ma mère. Je ne me souviens plus trop ce que je lui avais lancé au visage mais elle l'avait tellement mal pris qu'elle avait essayé de me tuer. Cette greluche finit poignardée par mon père qui avait tenté de s'interposer et de lui arracher le couteau des mains. Quelle mort vraiment ridicule...
M'enfin il y eut une affaire et bien qu'étant jeune, je m'étais retrouvé au tribunal pour assister au jugement de mon paternel. La salle était bondée et j'étais au premier rang pour assister à ce spectacle lamentable et ennuyeux au possible. Je n'écoutais pas trop les questions de l'avocat quand je fus appelé à la barre pour donner ma version de l'histoire. Quand je fus devant toute l'assemblée, je ressentis l'envie de venger maman et aussi de faire payer à mon abominable père le nombre incalculable de fois qu'il m'avait battu.
Avocat - "Alors mon garçon, jure-tu de dire la vérité et uniquement la vérité devant Dieu, le juge et l'assemblée ?"
Cletus - "Je le jure."
Avocat - "Bien ! Peux-tu nous raconter comment ta mère est morte la nuit du drame."
Cletus - "Et biiieeeeen..."
Avocat - "Allons, n'ai pas peur. Exprime-toi."
Cletus - "On était en train de dîner dans le calme quand maman lui avait demandé, comme chaque soir, comment s'était passé sa journée. Et puis... Et puis papa, s'est emporté et l'a poignardé sans raison."
Père de Cletus - "C'est faux ! Je n'ai jamais fait ça ! Cletus ! Comment peux-tu ?"
*Bruit de maillet.*
Juge - "Silence dans la salle ! La parole est au témoin."
Avocat - "Tu es sûr de nous avoir tout dit, Cletus ?"
Cletus - "J'ai juré de dire la vérité. Et la vérité, c'est que papa a tué maman sans raison ! Maman me manque ! Sniff !"
Juge - "Bien ! Monsieur Kasady, la cour vous déclare coupable du meurtre de sang-froid de votre épouse ! Vous êtes condamné à la peine capitale. La mort !"
Mon père vécut ses derniers instants sur la chaise électrique et je fus confié à la tutelle de mon affreuse grand-mère. J'avais donc hérité de l'incroyable privilège de résider chez une vieille folle irascible et zoophile. Ne me demandez pas ce qu'elle foutait quand elle était seule avec son chien, je ne préfère pas en parler... Mais revenons-en à notre bonne vieille dame.
J'avais donc été mis sous sa garde vu que c'était la dernière survivante de ma famille de bras-cassés et à peine avais-je été sous sa tutelle que je fus de corvée de ménage, de bouffe, de lessive et que je recevais des coups de cannes là où ça fait mal. Je vous passe les détails de ma première journée chez la vieille peau...
Je devais avoir vers les six ans quand un jour, en rentrant chez la vieille femme, je vis un chien après qu'elle ait été renversé par une voiture. Il y avait quelque chose qui brillait dans ses yeux. Que voyait-il pendant que sa vie s'achevait ? Je voulais le savoir et je devais le savoir. Cette question me trotta longuement dans l'esprit quand je fus de retour chez ma grand-mère.
Pendant quelques mois, je fus l'esclave d'une hideuse vieille bique et son souffre douleur. A l'école, j'étais plutôt discret comme gamin et puis vous savez personne n'aime les roux, donc il valait mieux que je me fasse petit. Il n'empêche qu'après mes journées à l'école, je rentrais chez ma tutrice et je me faisais comme tous les jours agresser par son idiot de chien qui aboyait beaucoup plus qu'il ne mordait. Et puis, j'ai craqué et j'ai décidé de leur faire payer leurs sévices.
J'ai commencé par tendre un piège à la bestiole à quatre pattes qui était aussi mauvaise que sa propriétaire. Je l'avais enfermée dans la cave un jour où la vieille était sortie et lui avais montré à quoi les outils pouvaient servir en dehors du bricolage. Les deux heures d'absence quotidienne de la vieille furent pleinement occupée par la torture de la sale bête. Quand j'en avais fini avec elle, elle était immobile à terre et ne cessait de couiner. Il fallait bien avouer que la digestion de clous, écrous et vis rouillés que j'avais placées dans sa gamelle devait être douloureuse et que les coups de clés devaient l'avoir calmée.
Finalement, quand l'horrible bonne femme fut rentrée, elle appela son gentil compagnon à quatre pattes qui lui répondit en gémissant depuis la cave. Je descendais accueillir ma grand-mère et lui disait en prenant une intonation d'enfant inquiet et catastrophé.
Cletus - "Mamie ! Mamie ! C'est horrible ! Le chien ! Il n'arrête pas de couiner depuis que je lui ai donné ses croquettes ! Il reste à la cave et ne veut pas remonter."
Grand-mère - "Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça, idiot de gamin ! Titi ! Allez monte titi ! Rah ! Quel sale cabot ! Je vais lui faire voir de quel bois je me chauffe ! Nondidiou !"
Je reculais lentement pour prendre de l'élan tandis que la vielle femme se dirigeait vers la porte de la cave, puis courais à vive allure vers elle et la poussais de toutes mes forces quand elle commença à descendre les escaliers.
Ma grand-mère était âgée et son heure était proche de toutes façons. Je n'avais fait qu'accélérer le processus en la poussant des escaliers mais le temps que je la rejoigne, elle avait déjà rendu l'âme. Je me disais donc que je n'avais qu'à recommencer jusqu'à ce que je sache enfin ce qu'ils voyaient.
Les voisins qui avaient entendus la chute de la vieille folle appelèrent la police. Quand ils arrivèrent, ils me trouvèrent à côté de la vieille femme. Ce qu'ils découvrirent fut un enfant en larmes reposant à côté de sa grand-mère qui avait fait une mauvaise chute dans les escaliers. Ma petite comédie me permit de ne pas écoper de la maison de correction.
Me retrouvant sans la moindre famille, je fus alors placé dans un orphelinat, plus précisément dans le foyer pour garçons de St. Estes.
CHAPITRE II : L'INCENDIE, LA NAISSANCE DU DÉMON !
Après la mort de ma grand-mère, les policiers m'avaient placé dans le foyer pour garçons de St. Estes. Si vous voulez apprendre rapidement autour de quoi tourne la vie, je vous conseille de passer un peu de temps dans un endroit tel que celui-ci. Toutes les règles, toutes les choses qui sont censées être importantes ne signifient rien. Ce ne sont que des mensonges que nous nous enseignons les uns les autres. Ce sont des chaînes qui nous permettent de ne pas voir la réalité en face.
J'étais passé de la cohabitation avec une vieille folle à la cohabitation avec d'autres gamins de mon âge. On aurait pu croire que dans un environnement tel que celui-ci, j'allais enfin pouvoir me développer dans un bon environnement, auprès d'autres petits garçons, mais ce ne fut pas le cas. Il fallait dire que mon côté associable n'était pas non plus pratique pour se faire des amis. Mais durant ce séjour, j'avais appris pas mal de choses. Peu importait de bien se comporter, les fautes retombaient toujours sur moi. J'étais la risée du foyer, les autres enfants se moquaient de moi, le personnel se moquait de moi et même les administrateurs.
Vous vous demandez ce qu'il s'est passé ? Souvenez-vous de cette affreuse première page du Daily Buggle. "Un orphelinat réduit en cendres, un seul enfant survivant."
Quelqu'un avait mis des chaînes à toutes les sorties de secours, les fenêtres avaient des barreaux pour garder les gens comme moi à l'intérieur mais j'étais déjà dehors. Je les avais regardés dans les yeux avec malice quand ils réalisèrent qu'ils étaient piégés. Tous les enfants qui m'avaient torturé, s'étaient moqués de moi, tous ceux qui ne me prenaient pas au sérieux, les enseignants, les gardes, les docteurs et les administrateurs. Nous avons tous appris beaucoup ce jour là, surtout moi... Ah ah ah ! Ce que cette vengeance était douce.
CHAPITRE III : CARNAGE KILLER !
Les années passèrent et je poursuivais mes études au lycée. Les choses étaient toujours les mêmes, on se moquait de moi et les plus sages m'évitaient. J'étais devenu depuis un moment un tueur en série qui assassinait discrètement les gens avec pour simple raison que la vie n'avait aucun sens et que le chaos et le désordre était les seules choses la gouvernant. Ah au lycée, tous me méprisaient sauf peut-être deux personnes, un dénommé Billy BENTINE, mon meilleur ami et la belle Lucy JAW.
Ah Lucy, je craquais pour elle et elle avait d'ailleurs tout pour elle, l'intelligence, la beauté, la compassion, le sens de l'humour et de bons résultats dans toutes les matières. Elle était promise à un glorieux avenir. Je me souviens qu'il m'avait fallu m'armer de courage et de longues heures de préparation pour lui déclarer mes sentiments et qu'il ne lui avait fallu que cinq secondes pour tout foutre en l'air.
Ah Lucy, je l'aimais à en crever mais je ne pouvais accepter son refus. C'est ce qui lui valut de se faire pousser et de passer sous un bus. Ahlàlà quel gâchis, une personne promise à un si bel avenir qui finit presque à la chronique des chiens écrasés. Ahahah !
Beaucoup d'autres meurtres suivirent. Ma famille, les enfants du foyer, les gens que j'avais tués encore après, ils avaient tous l'air surpris de mourir. C'était comme s'ils n'arrivaient pas à croire ce qui leur arrivait. Leur morts ne m'avaient rien appris de nouveau. C'est alors que j'avais réalisé qu'il me fallait tuer ceux qui ne pouvaient pas être surpris. Les gens qui connaissaient la mort. Et qui connaissait mieux la mort que ceux qui l'apportaient aux autres ? C'est à partir de ce raisonnement que j'avais décidé de tuer des meurtriers.
J'étais à la recherche de réponse mais la vérité est qu'il n'y en avait aucunes. Les lois ne sont que des mots, la mort ce qu'il y a au bout de toute vie. Vous connaissez le plus drôle ? Au final, les tueurs sont aussi surpris que les autres. J'ai longtemps cherché le sens de la mort mais au final, j'en suis arrivé au fait que tout comme la vie, elle n'a aucun sens...
Savez-vous ce que tuer des tueurs m'a appris ? C'est simple, la différence entre les tueurs et les simples citoyens est que les meurtriers connaissent la vérité. Et la répandre allait être ma mission. Oui... Apprendre aux gens qu'il n'y a rien après la mort. Que rien n'a de sens et que seul le chaos et le désordre guident nos actes et régissent nos vies. C'est lors de mes assassinats de meurtriers que je me mis à laisser ma signature, CK. Ce qui me valut le surnom de "Carnage Killer". Même les médias me considéraient comme un justicier mystérieux.
Ah c'était amusant de tuer des tueurs... Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Je fus arrêté à cause du monte-en-l'air de New-York puis incarcéré à Ryker's Island et condamné à onze fois la perpétuité pour les nombreux meurtres que j'avais commis.
CHAPITRE IV : UN VÉRITABLE CARNAGE !
Je me suis fait beaucoup d'amis en prison grâce à une petite chanson que j'ai chantonnée quand on me mettait derrière les barreaux.
Cletus - "♪ L'araignée, l'araignée ! Est un être bien singulier ! Dans sa toile ! Il attend ! D'attraper ! Les brigands ! Attentioooon ! Car l'araignée est lààà ! Il est fort ! Aggressif ! Il a du sang radioactif ! Il s'envole ! Sur un fil ! Et fait fi ! Du péril ! Attentioooon ! Car l'araignée est lààà ! Si parfoiiiis la nuuuit on découuuuuvre un mystèèère ! L'araiiiignééé surgiiit aussi vite que l'éclair ! L'araignée, l'araignée ! Toujours là ! Pour nous protéger ! Il apporte ! Des secours ! Et ne veut rien ! En retour ! Pour luiiiii ! La vie est un combaaaat ! Et de l'action il y en aaaaa ! Quand l'araignée est làààààà ! ♪"
Prisonnier A - "La feeeeerme !"
Prisonnier B -"Mais qu'il se taise ! Mais qu'il se taise !"
Prisonnier C - "Mais je vais la lui faire bouffer son araignée !"
Je fus alors placé en cellule seul. Tandis que les menaces étaient proférées sur le nouveau venu que j'étais. En prison, je parvins à passer le temps tant bien que mal et à éviter les câlins sous les douches en plantant les plus courageux. Cela sert d'avoir toujours de bons outils sur soi. Ah ah ! Enfin, de nombreux mois passèrent jusqu'à ce que j'aie un nouveau colocataire. Un dénommé Eddie BROCK qui fut emprisonné à cause de l'araignée. Je comprenais sa haine pour lui et m'entendais pas trop mal avec ce dernier, même si à sa place, j'aurais moins rechigné à tuer la famille du justicier. Ce dernier m'apprit qu'il avait un plan pour s'évader et appréciait mes suggestions de vengeance.
Je me montrais donc patient comme me l'avais suggéré BROCK. Cependant, nous fûmes séparés par précaution. Quelques jours plus tard, BROCK devint un monstre et s'échappa de sa cellule en massacrant tous ceux qui se mettaient en travers de sa route. Nul ne se doutait alors que le symbiote de BROCK avait laissé un reliquat biologique dans sa cellule qui était en fait voisine à la mienne. Un liquide rouge s'insinua alors dans ma cellule avant de s'infiltrer en moi.
Je revécu alors mon passé et les scènes de mes meurtres. Une voix résonnait dans ma tête. Elle me demandait de me donner à elle. Que si j'acceptais nous serions unis par des liens plus forts que le sang. Cette voix m'offrait la liberté et partageais ma soif de violence et de chaos. J'esquissais alors un sourire sadique immobile dans ma cellule.
Cletus - "Oui."
Le liquide jaillit alors violemment de ma bouche puis me recouvrit. J'étais moi aussi devenu un monstre. Je sentais ses pensées et j'avais soif de carnage ! Oui ! C'est ainsi que nous nous appelions à présent. Carnage... Je laissais libre court à mon instinct et tranchais d'un coup de griffes les barreaux de ma cellule avant de me ruer à quatre pattes dans le couloir et de trancher les gardes qui s'interposaient. L'un d'entre eux tomba à la renverse et hurla de peur. Je me redressais alors et le symbiote laissa paraître mon visage.
Cletus - "Oh ? Tu as peur ? Hé bien, je pensais que tu avais plus de couilles, Willy."
Officier Willy - "Cletus ? Oh mon dieu... Mais que qu'est-ce qu'il t'est arrivé !"
Carnage - "Cletus par ci, Cletus par là ! Il n'y en a que pour Cletus ! Retiens-le bien andouille ! Nous ssssssssommes k-k-k-k Carnage !!!"
Le symbiote recouvrait à nouveau mon visage puis de plusieurs coups de griffes je tranchais les portes et les gardes avant de regagner ma liberté. Je quittais ensuite l'île en me jetant à l'eau. Ah ! Vive la liberté ! Le carnage va pouvoir commencer !
Je certifie par la présente avoir lu le règlement en entier et m'engage à le respecter. "Lu et approuvé ! Cletus Kasady Mon pseudo sur le web. Mes pseudos les plus utilisés sont : Raizen et Yasha. Mon âge. 25 ans. Quelque chose à améliorer sur le forum ? Hum... Les couleurs sont jolies et le forum plutôt clair. Par contre, un petit topic avec des images de célébrités pour aider à s'en trouver une ou quelque chose dans le genre serait sympa. Et peut-être une couleur plus foncée pour les textes. Ils peuvent paraître un peu illisibles sur certains ordinateurs. ^^ Ma fréquence de connexion. En période creuse, plusieurs fois par jour? Une fois par jour à trois fois par semaine. Veux-tu un parrain/marraine? C'est votre Wade Wilson qui m'a donné envie de venir. Et pour l'instant, je n'envisage pas de parrain/marraine.
Emma Blaze
– Justicier –
GÉNÉRAL
» communications : 3855
» ma tête : Amber Heard
« LA MEILLEURE DES ASSISTANTES ! »
» association : SHIELD
POUVOIR Feuille de personnage » classe: 3 - Pouvoir en développement » appartenance: 6 - Humain avec aptitude magique » pouvoirs:
Sam 6 Sep - 14:28
Emma Blaze
Bienvenue parmi nous Cletus!
Tu disposes de 7 jours pour terminer ta fiche :) N'hesite pas a harceler le staff on aime ca
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Sam 6 Sep - 15:51
Invité
Merci ! ^^
Mes questions pour l'instant concernent surtout les avatars à utiliser. (Je ne sais pas si ça va si je la pose ici mais au pire, j'éditerais ce message pour l'enlever.)
En fait pour l'avatar de mon personnage, j'ai pensé à une image de Willem DAFOE dans son rôle de "Norman OSBORN" mais je ne sais pas si ce sera accordé ou non. (Vu qu'il est possible qu'il soit réservé à un futur "Bouffon Vert".) :/
Il m'est très difficile de trouver une célébrité avec un air de "psychopathe" et si jamais je dois changer, j'aimerais bien un petit coup de main pour trouver une célébrité qui colle avec le personnage. (J'ai pensé à Jim CARREY mais je suis ouvert à toutes suggestions.)
Edit : Est-ce qu'il serait aussi possible de changer mon prénom ? Je n'ai pas fait attention en m'inscrivant et j'aimerais passer de "Clétus Kasady" à "Cletus Kasady".
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Mar 9 Sep - 17:44
Invité
Bonjour et bienvenue à toi,
Carnage... On ne peut que aimer un être comme Carnage.
Pour ta question, (si elle est encore d'actualité), Robert Knepper est souvent vu comme personnage acteur pour carnage (acteur de la série prison break, un air assez barge)
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Mar 9 Sep - 20:23
Invité
Merci Bucky pour ton accueil et ta proposition !
Je pense que je vais toutefois conserver la célébrité actuelle pour mon Carnage ! :)
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Mar 9 Sep - 20:28
Invité
Bienvenu à toi... Carnage
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Mar 9 Sep - 22:47
Invité
Merci la poule morte ensanglantée ! :D
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Mer 10 Sep - 11:36
Invité
Bienvenue mon cher,
Tu as déjà un feu vert pour ta validation, et je t'offre le second :) te voilà donc validé!
Si tu as besoin d'être guidé, tu peux lire ceci: guide du nouveau
J'aime beaucoup ta façon d'écrire et de t'imprégner du personnage! Je t'ai lu avec plaisir, et tu m'as même redonné l'envie de rp malgré tout mon boulot irl
Bienvenue à toi, et je veux un lien/rp (j'ai une idée pour l'un de mes comptes ^^) :mmh:
Invité
Invité
GÉNÉRAL
POUVOIR
Mer 10 Sep - 20:56
Invité
Merci ! Pour le lien, ce sera avec plaisir épique Ghost Rider ! :D
Contenu sponsorisé
GÉNÉRAL
POUVOIR
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Accueil
Sam 6 Sep - 13:32
