écrire ici l'histoire de votre personnage en un minimum de 500 mots. Nous vous demandons d'intégrer les événements du MCU (attaque des chitauris, accord de Sokovie etc...) ainsi que les contextes du forum (l'épuration anti-anormaux, la chute du général Ross et la grande nuit noir). N'hésitez pas à décrie où était votre personnage, comment a-t-il vécu ces épisodes dans sa vie et les potentielles conséquences sur sa vie, son entourage ... Hum. Ça fonctionne encore ? Voyons cela… Salut Tony, je ne sais pas si tu liras ce message. Plus précisément si tu verras ce message un jour. Mais je crois que j’ai besoin de mettre les choses au clair. Surtout après tout ce que nous avons vécu. Je crois que l’on a jamais pris le temps de se présenter correctement, de parler de nous, de nos histoires. On s’est basé sur ce que l’on savait. Ce que Howard t’avait dit de moi, ce que Fury ou des dossiers m’ont dit de toi. De fausses impressions en somme. Au fond je me dis, non j’espère qu’une remise à plat fera bouger les choses. Que tout redeviendra comme avant… Je n’aime pas cette situation mais je pense que j’ai trop de fierté pour te l’avouer. J’ai fait ce qui me semblait juste. Tout comme toi probablement.
La voix de Sam résonne en arrière plan Hum apparemment ça ne va pas commencer dans l’immédiat. Je dois y aller La caméra s’éteint
la caméra se rallume. Steve assis sur le bord de son lit tient une feuille de papier Ce n’est pas un discours je te rassure. Je repensais à tout ça à cette guerre qu’on s’est mené. A ton père. A Bucky, à toi. A ce que t’as famille, non à ce que tu as enduré. Avant… Lors du décès de ton père. Tu sais avec le temps j’oublie le visage du mien. Pourtant ce n’est pas faute de lutter contre cela. J’entend ta voix presque me dire que c’est Alzheimer ou que c’est dû simplement à mon grand âge. Pourtant j’aurai aimé que tu les connaisses tous les deux. Que tu le rencontre lui. Comme ton père ce n’était pas un homme parfait loin de là. Mais je crois qu’on a tous notre part obscure, qu’au fond nous ne sommes tous que des hommes.
Je pense sincèrement que tu l’aurais adoré, dans certaines situations Thor me fait penser à lui. C’était un homme bon, avec de vraies valeurs, la famille, l’effort, la bienveillance, la lutte. Un Irlandais qui rêvait d’une nouvelle vie pour celle qu’il aimait et son enfant à naître. Il s’était dit qu’ici il aurait plus de chance. Plus de possibilités. Il n’avait pas prévu la Dépression… Le pays lui manquait. Il avait peur sans cesse, pour ma mère, pour moi. J’étais loin d’être l’enfant vaillant et fort qui pourrait survivre à tout cela. L’alcool est devenu son refuge.
Il observe la feuille qu’il tient dans sa main et sourit Je peinais à grandir, j’étais sans cesse malade, asthmatique, loin d’être capable du centième de ce que je fais aujourd’hui. Loin d’être une fierté pour un père et pourtant… Si tu pouvais imaginer le quart de ce que je voyais dans ses yeux. Cela m’a poursuivi toute ma vie,et me poursuit encore. Lui ne me défendait pas. Enfin il intervenait quand il le fallait mais sa façon de me protéger c’était de m’apprendre à être un homme bon, à être un homme capable de défendre ce que je croyais juste.
il pose ses coudes sur ses genoux, et croise ses mains, tenant le papier du bout des doigtsAuprès de ma mère je pouvais être rêveur, artiste, je me sentais frêle et pourtant fort. Avec elle je me rappelais de la maladie, mais je puisais en elle la force de me battre. Mon père lui, m’apprenais à me servir de mes poings. Il avait la carrure de l’homme que je voulais devenir, je ne sais pas si tu as un jour connu cela avec ton propre père. Cette idée qui te trotte dans la tête, celle qui te fait dire qu’un jour tu voudrais être “comme lui” et si ce n’est pas possible n’être au moins que le quart de cet homme. C’est ce que j’éprouvais pour le mien… J’avais à peine neuf ans et il me disait de me tenir droit, de serrer les poings. De me battre pour ce en quoi je croyais Et que si je devais m’écrouler, alors je devais me relever, et recommencer encore et encore. Même si cela devait durer toute la journée… Maintenant tu sais d’où me viennent ces quelques mot… C’est là son héritage.
Il s’étire vers l’arrière et soupireIl est mort quand j’avais douze ans. Tué par l’alcool et la boxe. Un mauvais coup lors d’un match clandestin. Un de ceux que l’on faisait durant les années 30 quand on est assez alcoolisé pour se croire plus fort que le monde entier, quand on a plus assez d’argent pour nourrir sa famille mais que votre fils doit encore avoir des médicaments parce que pour la cinquième fois en cinq mois il a attrapé une pneumonie qui a mal tournée… Je le revoyais encore passer le seuil de la porte avec des bleus sur le visage, quelques billets bien roulés dans la poche, un sac de course dans une main, et un de médicaments dans l’autre, cette fierté du succès… Et toutes ces autres fois, plus nombreuses où il n’y était pas parvenus, où il revenait les mains vides. Dans un cas comme dans un autre ma mère lui souriait et l’embrassait avec la même passion. Cet amour là… Je n’en ai jamais vu de tel depuis… A sa mort, puis à celle de ma mère bien des années plus tard, je me suis juré de devenir cet homme qu’il était. L’alcool en moins parce que je voulais rester maître de mes décisions. Je n’ai jamais cessé de me battre comme il me l’avait appris, en son honneur… Me battre c’est tout ce qu’il me reste à l’heure où je ne me rappelle qu’avec difficulté de son visage… J’ai perdu la seule photo de nous trois que nous avions. Oh je sais ce que tu vas me dire, il aurait suffit que je te demande, à toi, avec F.R.I.D.A.Y ou à Vision de faire ce “portrait robot”, mais ce n’était pas leur rendre justice. Voilà… C’est de là que je viens, de ce petit quartier de Brooklyn, où au détour d’une rue, un colosse roux et marqué de cicatrices d’un mètre quatre vingt quinze nommé Joseph tentait de faire de son fils chétif un héros du quotidien. De cette maison aux rideaux rouges et blancs, où une femme prénommée Sarah, les cheveux blond comme les blés et les yeux verts couvait d’amour ce même enfant un peu trop rêveur. J’aurai aimé que tu les connaisses Tony, tu aurais compris dès la première minute pourquoi je ne pouvais plus te suivre sur cette voie… J’aurai probablement dû te parler d’eux plus tôt…
La voix de Natasha appelle Steve. Il pose la feuille sur la table et baisse la caméra, gros plan sur le dessin qu’il a réaliséimage crédit : Blvnk Une nouvelle fois la caméra se rallume laissant apparaître Steve tenant un vieil étui rond dans la main qu’il regarde avec nostalgie. Sa voix est un murmureJe crois que je vais renoncer à te faire l’affront de te parler de… De lui. Pourtant je pourrai t’en raconter des histoires qui te feraient marrer sur notre jeunesse. Oui Tony là je parle comme un vieux… Mais j’ai bien compris - avec le temps - que pour toi il serait toujours le Winter Soldier, l’assassin. Tandis que pour moi il sera toujours Bucky… Si je te l’évoque malgré tout c’est parce qu’il faut que tu comprenne que dans un sens il est lui aussi à l’origine de mon choix de participer à ce projet.
Quand la guerre a éclaté j’ai su que je voulais défendre mon pays. Si mes parents étaient irlandais moi j’étais né et j’avais grandi dans les rues de Brooklyn. Alors face à cet ennemi qui gagnait du terrain et nous menaçait je devais me tenir debout et me battre. Mais chaque fois j’étais révoqué. Trop faible, trop petit, asthme chronique tout cela étaient encore des obstacles sur ma route. J’ai bien dit chaque fois parce que mon envie de me battre me poussait à mentir sur mon nom, sur ma ville mais c’était voué à l’échec. Je voyais mon ami devenu Sergent prêt à partir. Et moi je restais sur place…
Ce soir là j’ai fait deux rencontres qui changeraient ma vie à jamais. Pour la première je l’ignorais encore en réalité. C’est ce soir là que j’ai vu pour la première fois ton père Howard. On était à la Stark expo. Il présentait un prototype de voiture volante qui a fini par s’écrouler au sol. C’était si exceptionnel que même encore aujourd’hui je suis émerveillé. Et pourtant je dois le dire tu l’as largement surpassé.
La seconde fut avec le Docteur Erskine. Il avait remarqué et noté mes multiples passages afin de me faire engager comme soldat. Il aurait dû me dénoncer, j’aurai dû être condamné pour cela. Mais lui y a vu autre chose… une question, rien qu’une et de révoqué je devenais apte et j’intégrais son projet. Je ne savais pas si j’étais le plus heureux ou le plus désolé du monde à cette seconde. Mais je pouvais enfin porter ma part de responsabilité. Il m’avait de ne pas faire l’idiot, je lui ai dit qu’il les emmenait tous avec lui… tu vois au fond, je crois que moi aussi je ne suis qu’un idiot. Pourquoi je te parle de ça ? Parce que c’est là que je l’ai rencontré. Jusqu’à il y a peu encore j’ai pensé qu’elle était l’amour avec un grand A celui de mon existence avec qui je vieillirai et que irrémédiablement je verrai partir avant moi. Celle avec qui je voulais une danse et dont j’ai porté le cercueil alors que nous commencions à nous déchirer. Peggy était si forte si indépendante à une époque où c’était déjà si peu toléré… Peggy a toujours été source de fascination pour moi. Je ne sais pas quel lien tu entretenait avec elle, mais j’espère que tu as eu la chance de croiser sa route. De voir son sourire ou de la voir donner ses ordres avec conviction et acharnement. À cette époque de ma vie elle occupait mes pensées et m’obligeait à rester en vie rien que pour avoir cette danse avec elle. Je n’ai hélas pas su tenir ma promesse et aujourd’hui c’est tous ce qui me reste d’elle. Cette photo dans cette boussole. Les souvenirs d’un temps trop court passé à ses côtés.
Il passe une main sur ses yeux et soupire. Étire son bras vers la caméra pour l’éteindre Plus ça va et plus j’ai l’impression de faire mon testament… Désolé de t’infliger ça...
L’image montre de nouveau Steve, les traits plus tirés le regard plus sombre Je crois que je suis fatigué de tout ça Tony…
Tu sais quand on m’a retrouvé et ramené quand on s’est rencontré et affronté sur nos pseudos valeurs. Toi l’homme en armure et moi le type venu d’un autre temps. Avec tout ce qu’il s’est passé je me dis que tu avais peut être raison que tout cela ne vient peut-être que d’une bouteille.
J’ai vu des choses et rencontrer des gens capables de choses que je n’avais imaginé qu’en rêve. Mais tout cela : les chitauris, Ultron, les Krees et le Wakanda tout est bien réel. Et dans un sens je crois que cela m’effraie encore. Que j’aurai peut être préféré mourir sous cette glace. Qu’on ne me retrouve jamais.
Tu sais mieux que quiconque que depuis mon réveil j’ai toujours cherché la normalité. Le fantôme de Peggy ou de ce qu’on aurait pu vivre elle et moi. D’une famille. J’ai pensé que la base Avengers et que l’équipe pourrait être ma famille. C’est un peu le cas. Est ce que c’est trop de dire que je te vois davantage comme un frère que comme un ami ? Tu ne verras probablement jamais tout cela alors je peux bien le confesser ici. Tu es un peu exceptionnel au milieu des autres. Un peu comme Natasha... Finalement tout cela c’est plus un journal de bord pour moi que des aveux pour toi alors tant qu’à avouer…
Elle et moi on a bien essayé d’associer nos blessures pour construire quelque chose. Mais je ne sais encore qui de nous deux a fini par mettre nos rapports sur un autre chemin. Moi probablement… c’est ce que je fais bien trop souvent depuis mon retour. Je pensais chercher Peggy chez d’autres et je m’en voulais pour ça. Mais en fait c’est une autre vie que je cherchais…
Je l’ai trouvé tu sais… Deux fois.
La première ? Elle s’appelle Emma. Je crois que tu la connais. Non. Je sais que tu la connais. Ton assistante celle qui a subi tant de dommage durant la Purge… Oui elle. Je l’avais rencontré pendant l’attaque des Chitauris. Cela avait été bref mais je revois encore ses yeux en larmes et je sens encore ses mains s’agripper à moi. Je ne pensais pas m’en souvenir avec tant de précisions encore aujourd’hui. Je pensais que c’était un épisode de ma vie que je devais mettre de côté. Et puis elle est arrivée à la salle de boxe où j’allais. Et c’est là que j’ai merdé. Quand j’ai compris qu’elle ne faisait pas le lien avec Captain America et moi. Je me suis dit que ma normalité devait être là dans ses yeux et dans ces moments qu’on partageait. Elle ne voyait que Steve Rogers et ça me suffisait amplement. Elle m’a décollé un poing magistral durant un entraînement. Je l’ai invité à boire un café pour qu’elle se fasse pardonner. Et finalement on a commencé à sortir ensemble. Cette normalité, cette banalité je commençais à m’y faire quand la ville a eu la si bonne idée de faire une exposition sur moi… je ne lui avais rien dit j’ai eu tort. On a essayé de tenir le coup de passer au-delà de ça mais je sais que j’ai brisé quelque chose ce jour là. On a commencé à prendre de la distance. Même si son père m’approuvait. J’étais toujours là quand elle avait besoin de moi. Je veillais toujours sur elle. Comment pouvait il en être autrement ? Mais dans son regard je savais qu’il était trop tard. Ross et son épuration n’ont fait qu’accélérer les choses. Notre Civil War n’a fait qu’envenimer les choses. Lorsque j’ai tout refusé en bloc j’ai dû fuir vite et loin. Je ne voulais pas qu’elle soit en danger. Pas à cause de moi. J’ignorais que son père allait réagir de la sorte. Je l’ai abandonnée en pensant la mettre en sécurité auprès de ceux qu’elle aimait. J’ai lamentablement échoué. C’était un choix.
Je luttais pour sauver des gens partout en ville sans savoir qu’elle avait plus besoin d’aide encore. Je ne sais pas si je me le pardonnerai un jour. Dans ce camp de réfugié à l’abri des regards, presque couvé par celui de Natasha j’ai laissé tomber Captain America. Comment défendre un pays qui voulait la mort de la moitié de sa population ? En torturait certain et en oubliait d’autre ? Ce pays là n’était pas le mien. C’est elle qui m’a appelé Nomad. J’ai gardé ce nom. J’ai continué le combat. J’ai retrouvé Emma là-bas. Ils ont pris soin d’elle ça je peux te le promettre. J’ai veillé sur elle au mieux. Je ne sais pas si j’y suis parvenu. Je le fais encore malgré tout. Je la retrouve chez elle. Je peux te faire un aveu ? Je crois que je l’ai dans la peau…
Steve se relève rapidement et la caméra s’éteint pour se rallumer. Il fait nuit, ses vêtements sont différents.Désolé j’ai dû aller gérer une urgence. De quoi on parlait déjà ? Ah oui.Emma. Je te disais que j’avais trouvé une certaine normalité dans toute cette folie. Avec elle déjà même si je l’ai laissé glisser et que je tente maladroitement de me racheter à ses yeux. Je dois faire pitié à entendre et à voir.
La silhouette de Wanda apparaît en arrière plan, tenant une tasse entre ses mains.. Elle frappe à la porte et Steve se retourne. On peut alors assister à leur conversation
« Je t’ai apporté ça… Steve tu es sûr que ça va ? » « Merci Wanda. Ca va aller je te remercie. » « Certain ? » « Oui, ne t’inquiète pas O.K ? » « Trop tard… Si tu as besoin tu sais que je suis là. » « Merci » Elle pose sa main sur sa joue et finalement s’éloigne. Je crois que je vais devoir arrêter ces vidéos,ça me plombe le moral et je ne suis pas doué pour le cacher. Je crois que ce sera la dernière fois qu’on parlera toi et moi. Enfin que je te parlerai…
Ma dernière part de normalité se prénomme Maddie. Je l’ai sauvé avec Nat pendant la Purge. C’est une jeune mutante, assez puissante vu son très jeune âge. Ross et ses sentinelles la cherchaient plus que de raison. Quand je l’ai rencontré j’ai fini par comprendre pourquoi. Si jeune et déjà si malmenée. Ses parents sont morts en voulant la protéger. Je l’ai trouvé cachée derrière une plaque d'égout. J’ai veillé sur elle, puis le S.H.I.E.L.D a pris le relai. Comme pour Emma je ne voulais pas la mettre en danger. Mais tout ce temps à fuir avec elle. Ces quelques mois où j’ai tenté de lui préserver sa part d’enfance avec des dessins idiots et des grandes conversations sur l’avenir. Je ne me suis jamais senti aussi… Fier d’être l’homme que je devenais. Que j’avais choisi d’être. Je me dis que si un jour je devais être père, cela aura commencé avec et grâce à elle. Aujourd’hui elle se reconstruit et avance. L’observer et continuer de pouvoir m’occuper d’elle est une chance que je ne pensais pas connaître. Peut être que quand je serai prêt, quand j’aurai fait la paix avec moi-même j’irai plus loin, je l’adopterai. Je sais que Nat me laissera faire. Que Maddie en sera probablement ravie. Je te la présenterai, et toi tu pourra peut être me présenter ce gamin du Queens à qui tu avais judicieusement conseillé de viser les pieds et éviter les bras.
Un sourire en coin se dessine sur son visage.Tu sais en l’observant elle, et en me souvenant de lui, je me rend compte que j’ai réalisé une chose depuis tout ce temps… Après toutes ces batailles. N’importe qui sur cette Terre pourrait ou aurait pu être un Avengers. Dans notre cas c’est Nick qui nous a investi de cette mission. De ce rôle : protéger la Terre ou à défaut d’y parvenir la venger.
Il passe une main sur ses yeux, pose sa tasse de l’autre. Mais Tony, je sais aussi que je ne pourrais y parvenir qu’avec toi à mes côtés…
Des pas rapides résonnent en arrière plan, une tête blonde se jette sur le dos de Nomad tandis qu’une voix fine et légère hurle presque un « STEVE ! Wanda a dit que ça n’allait pas, que je devais te secourir ! » « Mission accomplie Captain ! »
Un sourire apparaît sur le visage de l’enfant, et Steve se recale allongé dans la banquette qu’il occupait. L’enfant s’installe sur lui assise confortablement et se tourne dans sa direction. « Tu sais quand je serai grande je serai aussi intelligente que Tony Stark ! Comme ça je pourrai te créer une armure qui te rendra invincible ! » « Ah oui vraiment ? » « Oui et on pourra demander du Vibranium à T’Challa comme ça on refera ton bouclier si Tony veut garder l’autre pour se protéger ! » « C’est une bonne idée ça. »
La caméra continue d’enregistrer pendant encore 45 minutes. Se concluant sur les mots de l’enfant « Tu crois qu’il va t’en vouloir pour toujours ? »