N-Y, Juin - Août 2019
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Dane Whitman paye toujours ses dettes [Nat']

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POUVOIR

Souvent je mens pour faire croire à mon dedans, qu'il vit démesurément et qu'il peut même plaire à plein temps
Avec juste un ou deux baisers que je chope à l'envolée. Je m'imagine des volcans qui inonderaient mes champs de plaies

Beaucoup d’Avengers, des amis, disent que lorsque je veux quelque chose je suis toujours en mesure de l’obtenir. Je fais même tout pour l’avoir. Et puis il y a ce que je ne calcule pas. Comme cette nuit, comme ce réveil. Là, apaisée, entre ses bras à lui. A cette seconde cette sensation de bien être, cette idée que je ne veux plus être ailleurs. C’est quelque chose qui m’envahit et m’imprègne avec une joie que je ne parviens pas à comprendre. Que je ne veux pas comprendre. Je préfère le naturel, l’inattendu de ce que nous vivons là. Pour une fois je veux me laisser surprendre et ne rien maîtriser. Et c’est étrange. Incompréhensible même pour moi. Je ne veux pas comprendre…

Alors quand il se relève quand cette bulle est prête à éclater, même pour quelques minutes je m’y refuse. Le petit déjeuner est passé de toute façon ? A quoi bon aller lui expliquer à elle, que nous ne voulions pas nous laisser l’un est l’autre ? Que sa règle nous n’en voulions pas. Inutile si ce n’est pour remettre un pied dans une réalité dont je ne veux plus. Par pour le moment.

Alors oui à cette seconde je joue, un peu, mais je ne veux obliger Dane à rien. J’ose simplement parce que ce simple moi, ces trois lettres nous vont bien. Ose. J’ose me montrer à lui, j’ose “réclamer sa présence”. J’ose lui montrer que c’est lui que je veux à cet instant. Et comme à chaque fois que l’un de nous ose le résultat en vaut largement la peine. Je l’observer réellement partir, quitter la pièce, je lui avais juste donné un choix. Il n’y avait là qu’une simple réalité. Je n’avais pas faim, je voulais être avec lui, juste encore un peu. Alors oui, Je reste là, sous ses yeux, nue. Je sais, non pour une fois j’espère être exaucé. J’ose…

Je ne peux que sourire en le voyant abandonner son pantalon. Je souris plus largement quand il se saisit de la bouteille d’eau. Je ris, sincèrement, lorsqu’il attrape ma taille et m’entraîne avec lui sur le lit. Au fond il a raison. C’est, à cette seconde, tout ce dont j’ai besoin. Lui et ses caresses. Lui et ses baisers. Lui juste lui. Cette réalité accélère les battements de mon cœur et finalement je me laisse faire entre ses bras. Être juste Natasha. Ça ne m’était pas arrivé depuis si longtemps. Me laisser aller, en toute confiance…. Je crois ne l’avoir jamais expérimenté. Les minutes s’étirent de nouveau. Là, avec lui, contre lui, je suis bien. J’ose…

J’ose l’embrasser, le toucher, m’unir à lui. J’ose rire et soupirer. Sans voiles, sans filtres, sans masques. J’ose me couper du monde et de la réalité, encore une fois. J’ose me laisser faire, le laisser mener la danse et me dévoiler. J’ose quitter l’armure que je m’étais acharnée à construire. J’ose me laisser submerger par le désir, par mon humanité et je n’ai pas peur. Cette confiance aveugle. Je l’ose aussi… le soleil peut se mouvoir dans le ciel je m’en moque. Me revoilà égoïste.

Et puis de nouveau un bruit sourd. Je n’avais pas entendu les précédents, annonciateurs. Les marchés auraient craquées ? Je n’étais pas sur mes gardes, mon environnement se résume à Dane à cette seconde, le reste je m’en moque. Il n’y a que ce bruit sourd de métal, ce coup sec sur la porte et cette voix, encore elle. Cet accent italien qui veut nous dévorer et nous faire comprendre que nous ne sommes que deux égoïstes. Oui je le suis, à cette seconde je l’assume.

«
non rispettano mai la regola minima! Le otto del mattino non è complicato! »


Mes lèvres sur celles de Dane je me fige, mes mains le long de son dos. Je ne peux réprimer un rire. Réel lui aussi avant de souffler au creux de son oreille.

« Tu as vaincu le dragon sans sortir d’ici je crois... Veinard »

Du regard je lui désigne la porte dans un sourire. Reposant mes lèvres sur les siennes et effleurant son nez du mien…
Pando

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Dane Whitman & Natasha Romanoff


DANE WHITMAN PAYE TOUJOURS SES DETTES

Date-night.

Dane Whitman glousse ; et sourit.
Sincèrement.

Il est, depuis des années, en proie à des tensions et des crispations constantes ; quotidiennes.
Son séjour dans le Passé, aux Croisades, l’a plongé dans un enfer de chaque instant, avec l’obligation d’être prêt pour tout, dans l’espoir de survivre un jour de plus. Son retour a été une bénédiction, mais même son intégration au sein des Avengers ne lui a pas amené la sérénité tant espérée ; il se sentait encore en guerre, toujours en guerre.
Son décès lui a amené une paix brutale mais entière – qui lui a été hélas refusée, quand l’Epée d’Ebène l’a ressuscité. Et son influence s’étend maintenant sur le Chevalier Noir, au point qu’il se sente constamment sous le poids de cette lame maléfique.

Dane Whitman est donc toujours sous tension… il n’est jamais vraiment bien.
Sauf maintenant.

« Ha. »

Sauf à ce moment ; sauf depuis hier soir.
Depuis qu’il a découvert Natasha, dans le salon des Avengers. Depuis que leur soirée a commencé.
Depuis que cette parenthèse enchantée et inespérée a débuté.

« Veinard ? »

Bien des choses se sont passées, depuis ; bien des mots ont été prononcés, bien des regards se sont croisés. Bien des actes ont été faits, entre eux.
Qu’importe ; il est bien. Il est vraiment bien, comme en témoigne ce rire clair et serein qui s’échappe de sa gorge, alors qu’il roule sur le lit.
Collé à Natasha ; la collant contre lui.
Pour qu’ils soient ensemble. Pour qu’ils ne fassent qu’un.
Pour que cela ne s’arrête pas, surtout.

« Allons, allons ma chère. »

Leur baiser si intense et si ardent s’est stoppé, quand quelques bruits secs puis aigus se sont faits entendre ; les mots italiens ont confirmé sa suspicion.
Mais même s’il ne comprend pas la langue, Dane a saisi le sens – et a ri ; de bon cœur, pour une fois.
Natasha l’a embrassé, mais il a légèrement reculé ses lèvres… à regret.
Mais le bon mot est trop tentant.

« Ce n’est jamais d’la veine.
C’est le talent.
Dane Whitman ne perd jamais – faut l’savoir ! Dane Whitman ne perd jamais ! »


Et il rit, encore.
Avant de rouler sur le lit, en direction inversée. Il se redresse, alors, et glisse ses mains dans le dos, puis sur les hanches et le bassin de Natasha.
Il la relève, aussi. Il la place.
Sur lui.

« Hey. »

Il est assis ; et il l’assoit sur lui.
Il sourit.
Il est collé à elle – au point qu’il peut sentir sa respiration sur sa peau, au point d’humer son odeur. Son essence.
Il adore ça.

« Nat’. »

Une main glisse dans ses cheveux, et les caresse en passant aussi sur la nuque.
L’autre maintient Natasha sur lui, et s’occupe tendrement de sa peau ; si douce, si entêtante.

« Je… j’ai… »

Il se penche en avant.
Il lui jette un dernier regard ardent – puis se penche ; plonge.
Dans sa nuque. Sur sa poitrine.
Où il dépose des baisers. Où il laisse couler ses lèvres.
Où il s’abandonne.

« J’ai… pas… »

Ses mots sont des souffles, des murmures alors qu’il rapproche encore Natasha.
Alors qu’il la soulève, légèrement.

« J’ai faim… »

Alors qu’elle peut sentir tout le désir sauvage qu’il ressent.

« Juste… de toi… »

Et il remonte ; et il l’embrasse.
Et il s’abandonne, encore. Avec elle. En elle.
Il ne veut qu’elle.

Qu’importe le petit-déjeuner ; qu’importe la vieille femme. Qu’importe l’heure.
Qu’importe le monde.
Elle – il ne veut qu’elle.
Pour la paix qu’elle lui apporte. Pour son corps. Pour sa douceur.
Pour elle.
Il ne veut qu’elle.


Codage par Joh.A pour TheAvengersRPG.com
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Souvent je mens pour faire croire à mon dedans, qu'il vit démesurément et qu'il peut même plaire à plein temps
Avec juste un ou deux baisers que je chope à l'envolée. Je m'imagine des volcans qui inonderaient mes champs de plaies

Je n’ai plus envie de stopper ce moment, j’ai envie de l’entendre rire, encore une fois, j’ai envie d’effleurer sa peau du bout des doigts. J’ai envie de l’embrasser, plonger mon regard dans le sien. J’ai envie de ces choses qui pour certains sont normales et qui pour moi sont juste extraordinaires. J’ai envie de sentir ses lèvres. J’ai envie de lui et de l’amour que nous faisons là dans cette pièce. J’ai envie de rire aussi à ces mots là. Il ne perd jamais. J’ai envie de le laisser choisir pour moi.

Je me laisser faire me cale contre son flanc puis entre ses bras. Je le retrouve assise sans même avoir lutté. La chaleur de son corps me suffit, à cette seconde, alors que mes jambes entourent son bassin pour être au plus près de lui, ne faire plus qu’un avec lui, je réalise que j’ignore même où se trouve notre drap. Peu m’importe. Je suis bien là. La sensation de ses doigts entre mes cheveux. J’en cherche la caresse, mes yeux se ferment un court instant. Je suis tout simplement bien.

Quand il prononce mon nom, la douceur de sa voix m’entête et m’attire. Je ne laisse échapper qu’un petit

« Hum ? »

Qui trahit déjà mon désir.

Et ses mots, ses soupirs qui suivent ses caresses et ses baisers. Comment puis-je demander autre chose ? Comment puis je vouloir autre chose que ce qu’il veut lui ? Autrefois la réponse aurait été claire. La limite se serait imposée d’elle même. Là maintenant tout de suite, je ne veux pas de limite. Je ne veux pas que cela se stoppe. Je ne veux que lui. Que ce que j’éprouve là maintenant, pour lui. Quand il me recale contre lui entre ses bras, je sens mon dos se cambrer légèrement. Un appel muet, une réponse claire à son désir. Mes mains glissent le long de son dos, autour de sa nuque. Je veux combler le moindre espace entre nous. Je ne veux que nous et ce plaisir que nous éprouvons.

Je me perds dans ses bras chaque fois un peu plus, chaque fois avec le même plaisir, la même envie. Une barrière cède dans mon esprit je le sens. Je ne veux pas la reconstruire. Je veux l’abattre définitivement. Je veux que cette nuit, ce matin se répète encore et encore. Je le sais. Je ne veux plus jouer. Égoïste que je suis. Mais cette voix au fond de moi me dit un mot un seul : ose

Alors tous les signaux se coupent, je me perd et m’abandonne sans jamais rien lui cacher. Je veux qu’il sache ce qu’il me fait éprouver, ressentir. Je me fiche de savoir si le son de ma voix, de ce plaisir est entendu ailleurs que dans cette chambre, par d’autres. Il est sincère vrai et unique. Je me suis abandonnée à lui. Jamais je n’avais osé. Jamais je n’y aurai cru. Et je reste là niché au creux de son cou, unie à lui, mes doigts s’agrippant à son dos je prend conscience… Je réalise et peut être aussi ai-je besoin de le formuler à voix haute. Alors à mon tour, le souffle court, le corps et la voix brûlants je murmure un premier mot.

« Dane ? »

Mon nez effleure sa nuque, j’y dépose un baiser. Il effleure le sien, je viens poser mes lèvres sur les siennes. Et finalement je pose mon front contre le sien. Cette fois je veux le lui dire, secret qui restera peut être dans cette pièce, secret qui restera peut être à sens unique. Mais j’ai besoin de lui dire, j’ai besoin d’oser une dernière fois…

« Je... »

J’hésite, pour la première fois depuis longtemps une hésitation se fait entendre dans le son de ma voix. Je ne pensais pas en être capable. Je me croyais si sûre de moi. Mais cette voix au fond continue de souffler ose et je ne veux pas reculer.

« Je ne veux pas que ça s’arrête… Je ne veux pas que ce soit juste cette parenthèse. Ou si ça doit en être une… Je ne veux pas la refermer… »

Une de mes mains quittent son dos et se glisse entre ses cheveux à la base de sa nuque. Mon front toujours contre le sien je ferme les yeux. Je crains presque les mots qu’il prononcera ou son silence…

Pando
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Dane Whitman & Natasha Romanoff


DANE WHITMAN PAYE TOUJOURS SES DETTES

Date-night.

Dane Whitman est fou.
Et il adore ça.
Parce qu’il se rend compte que Natasha Romanoff l’est aussi – et apparemment sur la même longueur d’ondes. Le même genre de folie.
La folie douce.
Et la folie intense et sauvage, aussi ; la meilleure.

« Ha ! »

Dane glousse, alors qu’ils roulent sur le lit ; encore.
De longs instants après qu’il l’ait installée sur lui – de longs instants après qu’il se soit abandonné sur elle ; en elle.
Ils sont fatigués, encore. Quasiment exténués.
Mais c’est la meilleure des fatigues.

« Mmh. »

L’Avenger soupire d’aise, en se tournant vers Natasha.
Qui a certainement confirmé à la vielle femme italienne, mais aussi aux autres occupants de l’immeuble perdu au cœur de Little Italy, les raisons du retard des deux clients au petit-déjeuner. Et qui a certainement fait bien des jaloux.
Dane s’en fiche ; même si, de manière fort masculine, il en tire une pointe de fierté, il doit bien l’avouer.

Ces pensées s’évaporent, cependant, quand Natasha lui parle.
Tous deux sont allongés l’un à côté de l’autre ; quasiment l’un sur l’autre. Dane s’avoue fatigué, usé par cette nuit si douce et intense – mais il se redresse légèrement, quand elle murmure son prénom.
P’tain, pense-t-il, j’suis prêt à mourir vingt fois pour qu’elle le redise juste une fois.

« Mmh ? »

Il se tourne vers elle, et sourit ; puis tremble, frissonne quand le nez de Natasha effleure sa nuque, puis quand elle y dépose un baiser.
Il tremble, d’émotion – d’intensité.
Et se perd encore dans les lèvres de la jeune femme, alors qu’il referme les bras sur elle et soupire ; d’aise, encore. De désir, toujours.
De sérénité, surtout.

Même si cela s’arrête ; même si elle s’arrête.
Même si elle pose son front contre le sien – et parle. Et il comprend, alors.
Parler. Ils vont parler. Il faut parler.
Oui. Il faut parler.
Ils vont parler.

Dane la laisse faire, alors ; il la laisse parler.
En souriant, tendrement et doucement. Il la laisse faire.
Sans pression, sans forcer.
Il la laisse faire. Il la laisse parler, posant ses mains sur elle – mais chastement ; tendrement.
Sans arrière-pensée. Mais juste pour confirmer qu’il est là, avec elle.

Il l’écoute, alors. Il l’écoute, et enregistre chacun de ses mots.
Puis elle termine.
Puis elle caresse lentement ses cheveux, puis sa nuque… puis ferme les yeux.
Elle attend.
Elle attend sa réaction. Elle attend sa réponse.
Elle attend… son jugement.
Qui va impliquer tant de choses ; qui va déterminer tant d’événements.
Qui peut et va tant changer, entre eux.

« Natasha. »

Mais qui, pour lui, alors qu’il parle d’une voix si douce et tendre…

« Moi non plus. »

… relève d’une évidence incontournable et définitive.

« Ce… j’vais pas mentir, ce n’était pas prévu. »

Il glousse, tendrement. En remontant sa main vers sa nuque.
En restant collé à elle, front à front.

« Mais… au-delà du fait que j’regrette rien, je… »

Il prend une grande inspiration, et esquisse un sourire d’une tendresse enfantine.

« J’veux pas que ça s’arrête.
Je… j’sais pas ce qui va arriver, ce qui peut arriver, mais… mais j’veux pas que ça s’arrête. J’veux pas qu’on s’arrête.
J’veux pas te lâcher. »


Dane se penche en avant, et dépose un baiser autant doux que chaste sur ses lèvres.

« J’peux pas te lâcher, Nat’.
Pas après cette nuit. Pas après ce dîner.
J’peux plus te lâcher. »


Et il recule légèrement sa tête, en souriant ; troublé, bien sûr. Un peu choqué lui-même par son discours, par ce qu’il veut dire, parce qu’ils font.
Mais pas gêné. Pas bloqué. Pas embêté.
Il a osé. Il ose.
Et il adore ça.

« Mais… mais p’têt qu’on devrait quand même choper le p’tit-déj’… et filer. J’suis pas sûr que Mama Italia résiste plus longtemps à l’envie de sortir le fusil. »

Il glousse, et sourit en passant sa main sur la joue de Natasha.
Ils vont partir, oui. Ils vont se lâcher, à regret, manger ; parler un peu. S’embrasser, sûrement.
Puis partir – mais juste d’ici.
Et ils partiront ensemble ; pour aller vers un ailleurs inconnu… ensemble.
Aussi fou que cela paraisse.
Et ce qui leur correspond donc très bien.


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